Déplacements

Soutien aux forces de police endeuillées

Stéphanie Monfermé, agent administratif du commissariat de Rambouillet, est sauvagement assassinée le 23 avril par un terroriste islamiste. Elle avait deux enfants. 

Éric Masson, brigadier du commissariat d'Avignon, est froidement assassiné le 5 mai par un trafiquant de drogue. Il avait deux jeunes enfants. 

Mais également bien d'autres noms qu'on n'oublie pas : Franck Brinsolaro, Ahmed Merabet et Clarissa Jean-Philippe, 2015, Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, 2016, Xavier Jugelé, 2017, Arnaud Beltrame, 2018, Aurélia Trifiro, Brice Le Mescam, Anthony Lancelot, Damien Ernest, 2019, policiers et gendarmes victimes de la barbarie terroriste - et tous les agents tués dans l'exercice de leurs missions, fauchés volontairement par des automobilistes, tués lors d'échanges de coups de feu, blessés lors d'interpellations, etc. 

Également ceux qui sont victimes d'accidents, fréquents dans leur métier, ou que la difficulté de leurs missions pousse à une détresse psychique irréparable. 

Les forces de l'ordre se mettent en danger pour assurer l'ordre et la protection des populations. Il est de notre absolu devoir de les protéger à notre tour, en renforçant les dispositifs pénaux en cas d'agression de policiers, en les défendant et en leur assurant notre soutien. C'est ce que j'ai tenu à faire en participant, le 19 mai 2021, à la manifestation parisienne organisée par les syndicats de police, en mémoire d'Éric Masson, en compagnie de plusieurs de mes collègues députés. 

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