Travail Législatif

Ma position sur les accompagnants scolaires pour les élèves en situation de handicap

J'ai toujours œuvré, et ce depuis que j'ai été élue députée en juin 2017, œuvré pour qu’on accorde aux AVS et aux AESH non seulement un véritable statut, mais également une formation, de meilleures conditions de travail et une rémunération à la hauteur de leur engagement. À l’heure actuelle, un AESH à 24 heures (et ils sont majoritairement en dessous de ce quota horaire) a un salaire de 800 euros.

J'ai demandé, lors de la constitution des missions-flash de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation, la création d’une mission spécialement dédiée aux AESH et à ces problématiques, Le président de la commission a refusé sa requête. ce qui a été refusé par le président de la commission

J'ai rencontré, à Paris comme en circonscription, les représentants des AESH afin d’échanger avec eux.

J'ai déposé de nombreux amendements sur les textes pouvant concerner l’inclusion scolaire, comme la proposition de loi d’Aurélien Pradié, la proposition de loi de Christophe Bouillon, le projet de loi pour une école de la confiance.

Sur ce sujet, pour ces accompagnants, jene baisse pas les bras et je suis résolue à se faire entendre. J'ai intégré une commission d’enquête parlementaire sur l’inclusion scolaire et je suis déterminée à faire du statut des AESH un point central dans les réflexions à mener.

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